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Monday, January 1, 2018

A1 Watchman Nee : Shrinking from doing God's will


A1  Watchman Nee : Shrinking from doing God's will



When you find yourself defeated, you may ask what is the meaning of the interference of the enemy? Why cannot the stream of the power of God go on? You think it is this and that, and deal with it, but there is no change. Then, after asking God for light, you discover that you were shrinking from what you know you ought to do. How can the Holy Spirit work when you thus cease from co-operation? A little hesitation will push you below the point. Then you say, "Lord, I am going to do what Thou dost desire!" Then the power of God comes in, and all goes well.

The enemy will endeavour to hide from you the fact that you are in a lower plane, by dulling the conscience and giving all sorts of excuses to account for what is going on, until you are in such a state as to be almost powerless. Then he inflicts his suffering, and you have the greatest difficulty in getting on your feet again. Live up to the hilt of the spirit life to which God has brought you, then you will have the power of God to do the will of God at the highest point God seeks from you.

See a few more examples of how Christ walked in the will of God:

John iv. 34 shows the Spirit of God guiding the Lord at the well, when, in answer to the disciples who were anxiously inquiring about His food, He said, "My meat is to do the will of Him that sent me..." In John vii. 3, 6, His brethren said to Him, "Depart from hence...Jesus saith to them, My time is not yet come, but your time is alway ready." Here is the restraining power of the Spirit, so that He is not moved by His brethren.

Again in John xi. 5, 6, we read, "Now Jesus loved Martha and her sister and Lazarus. When He had heard therefore that he was sick He abode two days still in the same place where he was." His were spiritual bonds. It was God's will first. Though misjudged by those He loved, He did not move. How did He know God's will? He was never moved from outside; never moved by a family taunt, by sarcasm and unbelief; never moved even by the calls of love. He was in spiritual bonds to do God's will.

BH1 HEUREUX celui en qui la Charité-Agape est en abondance (2Pierre 1:1-15, vs. ètre aveugle)


BH1 HEUREUX celui en qui la Charité-Agape est en abondance (2Pierre 1:1-15, vs. ètre aveugle)

Simon Pierre, serviteur et apôtre de Jésus Christ, à ceux qui ont reçu en partage une foi du même prix que la nôtre, par la justice de notre Dieu et du Sauveur Jésus Christ: que la grâce et la paix vous soient multipliées par la connaissance de Dieu et de Jésus notre Seigneur!
Comme sa divine puissance nous a donné tout ce qui contribue à la vie et à la piété, au moyen de la connaissance de celui qui nous a appelés par sa propre gloire et par sa vertu, lesquelles nous assurent de sa part les plus grandes et les plus précieuses promesses, afin que par elles vous deveniez participants de la nature divine, en fuyant la corruption qui existe dans le monde par la convoitise,
à cause de cela même, faites tous vos efforts pour joindre à votre foi la vertu, à la vertu la science,à la science la tempérance, à la tempérance la patience, à la patience la piété,à la piété l'amour fraternel, à l'amour fraternel la charité. Car si ces choses sont en vous, et y sont avec abondance, elles ne vous laisseront point oisifs ni stériles pour la connaissance de notre Seigneur Jésus Christ.
Mais celui en qui ces choses ne sont point est aveugle, il ne voit pas de loin, et il a mis en oubli la purification de ses anciens péchés.
10 C'est pourquoi, frères, appliquez-vous d'autant plus à affermir votre vocation et votre élection; car, en faisant cela, vous ne broncherez jamais. 11 C'est ainsi, en effet, que l'entrée dans le royaume éternel de notre Seigneur et Sauveur Jésus Christ vous sera pleinement accordée.
12 Voilà pourquoi je prendrai soin de vous rappeler ces choses, bien que vous les sachiez et que vous soyez affermis dans la vérité présente. 13 Et je regarde comme un devoir, aussi longtemps que je suis dans cette tente, de


vous tenir en éveil par des avertissements,
14 car je sais que je la quitterai subitement, ainsi que notre Seigneur Jésus Christ me l'a fait connaître. 15 Mais j'aurai soin qu'après mon départ vous puissiez toujours vous souvenir de ces choses.
16 Ce n'est pas, en effet, en suivant des fables habilement conçues, que nous vous avons fait connaître la puissance et l'avènement de notre Seigneur Jésus Christ, mais c'est comme ayant vu sa majesté de nos propres yeux. 17 Car il a reçu de Dieu le Père honneur et gloire, quand la gloire magnifique lui fit entendre une voix qui disait: Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j'ai mis toute mon affection.
18 Et nous avons entendu cette voix venant du ciel, lorsque nous étions avec lui sur la sainte montagne. 19 Et nous tenons pour d'autant plus certaine la parole prophétique, à laquelle vous faites bien de prêter attention, comme à une lampe qui brille dans un lieu obscur, jusqu'à ce que le jour vienne à paraître et que l'étoile du matin se lève dans vos coeurs;
20 sachant tout d'abord vous-mêmes qu'aucune prophétie de l'Écriture ne peut être un objet d'interprétation particulière, 21 car ce n'est pas par une volonté d'homme qu'une prophétie a jamais été apportée, mais c'est poussés par le Saint Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu.






A1 Derek Prince L’ESPÉRANCE fait partie du salut, partie 4/ 5


A1 Derek Prince  L’ESPÉRANCE fait partie du salut, partie 4/ 5

 

17 octobre 2017/1 Commentaire/dans Enseignements /par René De Groot
L’espérance fait partie du salut, partie 4/ 5
Dans chacune de mes introductions précédentes de cette série, j’ai abordé ma lutte personnelle avec le désespoir. Bien qu’étant un chrétien mature et un enseignant biblique, je n’ai pas été à l’abri de ce genre de souffrance. Il n’est pas surprenant que de nombreux chrétiens se trouvent aujourd’hui dans la même lutte désespérée.Sept vérités essentielles
Le désespoir est l’une des conditions les plus tristes de l’expérience humaine, mais je crois qu’il est possible d’expérimenter une réelle espérance biblique. Pourquoi? Parce que l’espérance fait partie de notre salut en Jésus-Christ par la puissance du Saint-Esprit! À partir des Écritures et de ma propre expérience, je vais partager avec vous sur ce sujet dans cette quatrième partie de notre série en 5 parties sur l’espérance.
Commençons par résumer les sept faits scripturaires que nous avons établis dans les parties précédentes sur ce thème.
Tout d’abord, il y a trois réalités spirituelles éternelles dans la vie chrétienne: la foi, l’espérance et l’amour. Chacune est indispensable pour une vie chrétienne efficace.
Deuxièmement, l’espérance est produite par la nouvelle naissance; nous sommes nés de nouveau dans une espérance vivante par la résurrection de Jésus-Christ d’entre les morts.
Le troisième fait est exprimé par la déclaration, « L’espérance est fondée sur la résurrection du Christ ».
Quatrièmement, l’espérance attend avec impatience le retour de Christ. Telle est l’espérance bénie qui est devant tous les vrais chrétiens.
Cinquièmement, la source de l’espérance est l’amour de Dieu. Sixièmement, l’espérance biblique nous motive à une vie sainte. Septièmement, ce genre d’espérance produit des chrétiens confiants et radieux.
Ces vérités sont extrêmement importantes, donc je les cite à nouveau pour mémoire:
Tout d’abord, les trois réalités: la foi, l’espérance et l’amour.
Deuxièmement, l’espérance est produite par la nouvelle naissance.
Troisièmement, l’espérance est fondée sur la résurrection du Christ.
Quatrièmement, l’espérance attend le retour du Christ.
Cinquièmement, la source de l’espérance est l’amour de Dieu.
Sixièmement, l’espérance nous motive à vivre une vie sainte.
Septièmement, l’espérance produit des chrétiens confiants.
Une vérité surprenante
Dans ce message, je vais expliquer pourquoi l’espérance est une partie essentielle du salut. La plupart des chrétiens avec un arrière-plan confessionnel ont une sorte de conscience que vous ne pouvez pas avoir le salut sans la foi. Nous sommes tous familiers avec la fameuse déclaration biblique: « Le juste vivra par la foi ». Cela est tout à fait vrai. Cependant, cela vous surprendra peut-être que ce n’est pas toute la vérité. Ce que je veux souligner dans cette partie, c’est que vous ne pouvez pas avoir le salut sans espérance également. L’espérance est également un élément essentiel du salut.
Voici ce que dit Paul dans Romains 8: 24-25:
Car c’est en espérance que nous avons été sauvés. Or, l’espérance qu’on voit n’est plus espérance: ce qu’on voit, peut–on l’espérer encore? Mais si nous espérons ce que nous ne voyons pas, nous l’attendons avec persévérance. (SER)
Ce verset nous rappelle un point important soulevé précédemment dans cette série concernant la relation entre la foi et l’espérance.La foi est présente, mais l’espérance se tourne vers l’avenir. Ici, Paul dit: «En espérance [ou par l’espérance], nous avons été sauvés». En d’autres termes, l’espérance ne prend pas la place de la foi, mais c’est une partie essentielle du salut.Sans espérance, nous n’avons pas de salut valable.
Paul poursuit en soulignant que l’espérance produit de la persévérance. Il dit: «Si nous espérons ce que nous ne voyons pas, nous l’attendons avec persévérance.» La persévérance est aussi une partie essentielle de notre salut. De nombreux passages de l’Écriture soulignent que nous devons persévérer dans notre foi jusqu’à la réalisation de cette foi. Donc, l’espérance (et avec elle, la persévérance) est essentielle au salut.
Un mystère dévoilé
Cette vérité, cette espérance essentielle au salut, est clarifiée par Paul dans un autre passage de ses écrits. Je considère Colossiens 1: 25-27 comme l’un des plus beaux et passionnants passages du Nouveau Testament. Et croyez-moi, il y a beaucoup de passages magnifiques et passionnants dans le Nouveau Testament! C’est ce que Paul dit:
C’est d’elle [l’église] que je suis devenu serviteur. J’ai été chargé par Dieu de vous annoncer pleinement la parole de Dieu, le mystère caché de tout temps et à toutes les générations, mais dévoilé maintenant à ses saints, à qui Dieu a voulu faire connaître quelle est la glorieuse richesse de ce mystère parmi les païens, c’est–à–dire : Christ en vous, l’espérance de la gloire. (SER)
Insistons sur ce dernier verset:
À qui [les saints de Dieu], Dieu a voulu faire connaître quelle est la glorieuse richesse de ce mystère parmi les païens, c’est–à–dire : Christ en vous, l’espérance de la gloire.
Dans ce passage, Paul nous dit qu’il a été chargé par Dieu d’annoncer à son peuple (l’église) la parole de Dieu dans sa plénitude. Il poursuit ensuite pour expliquer ce que signifie la plénitude de la parole de Dieu. Paul dit que la présentation complète de la vérité de la parole de Dieu implique un «mystère» qui  a été gardé «caché de tous temps et à toutes les générations.»
À l’époque du Nouveau Testament, le mot grec «mystère» avait une signification particulière. Il y avait certaines « religions mystérieuses » dans lesquelles les gens étaient initiés par des rites secrets. Seules les personnes qui étaient passées à travers l’initiation et les rites secrets étaient autorisées à entrer dans ces religions. Donc, l’utilisation par Paul du mot «mystère» n’implique pas quelque chose qui ne peut jamais être compris. Plus exactement, cela implique quelque chose qui ne peut être compris que par les initiés – ceux qui ont rempli la condition pour entrer dans cette compréhension.
En utilisant ce terme, Paul révèle que la foi chrétienne contient un mystère – quelque chose qui a été caché pendant des siècles et des générations. Tous les grands hommes, tous les philosophes, tous les hommes sages, tous les rois et les conquérants n’ont jamais connu ce mystère. Il nous était réservé à ce temps présent.Paul dit que ce qui a été caché est maintenant dévoilé aux saints.
Cela ne vous rend-il pas excité? N’avons-nous pas le privilège d’être parmi ceux à qui ce mystère – qui n’a jamais été révélé, même chez les hommes les plus sages – est maintenant dévoilé?
Trois petits mots
Dieu veut «faire connaître quelle est la glorieuse richesse de ce mystère parmi les païens». Plus littéralement en grec, «la richesse de la gloire de ce mystère». Paul manque presque de mots essayant d’expliquer à quel point ce mystère est passionnant. Quel est le mystère?
La réponse à cette question n’est pas présentée dans un excellent traité philosophique avec des mots longs et compliqués que la plupart des gens ne comprennent pas. J’étais un philosophe professionnel, donc j’apprécie particulièrement la simplicité des Écritures. Je me rappelle avoir lu les travaux du philosophe Emmanuel Kant, où une phrase s’étendait parfois sur deux pages sans ponctuation. Heureusement, ce n’est pas la façon dont la Bible révèle des mystères.
Le mystère glorieux que nous recherchons se révèle en trois petits mots: Christ en vous.
C’est la vérité la plus excitante qui puisse être révélée à l’humanité! Que, par l’Esprit Saint, le Christ, le Fils éternel de Dieu, puisse être en nous. En nous en tant qu’individus; parmi nous en tant que peuple de Dieu.Voilà l’espérance de la gloire.
Quelle est l’espérance de la gloire? Christ en toi. Christ en moi.Voilà le secret, le mystère que Dieu nous a réservé. Ne vous sentez-vous pas privilégié? N’êtes vous pas excité quand vous y pensez? Pouvez-vous réaliser ce que signifie avoir Christ en vous? Cela signifie que vous avez l’espérance de la gloire.
Seulement deux possibilités
Qu’en est-il de ceux qui n’ont pas Christ en eux? Cela contraste bien avec ce que ce glorieux mystère signifie pour nous en tant que croyants. Regardons la description frappante de Paul de la condition de ceux qui sont en dehors du Christ. Dans Éphésiens 2: 11-12 SER, Paul écrit à ceux qui étaient païens, Paul leur rappelle de ne pas oublier ce qu’était la vie sans Christ:
Souvenez–vous donc de ceci : autrefois, vous, païens dans la chair, traités d’incirconcis par ceux qui se disent circoncis et qui le sont dans la chair et par la main des hommes, vous étiez en ce temps–là sans Christ, privés du droit de cité en Israël, étrangers aux alliances de la promesse, sans espérance et sans Dieu dans le monde.
S’il vous plaît, prêtez une attention particulière à cette horrible liste de points négatifs. Quels termes cruels sont utilisés! »Sans Christ, privés du droit de cité en Israël, étrangers aux alliances de la promesse. « (Avez-vous déjà vécu comme étranger dans un pays qui n’était pas le vôtre? Je l’ai vécu, et je sais ce que c’est d’être un étranger. Tu n’as pas vraiment ta place. Paul dit à propos de ceux qui sont sans Christ – ils sont des étrangers, ils n’ont pas leur place.) Mais les deux dernières phrases sont les plus tragiques: «sans espérance et sans Dieu».
Permettez-moi de répéter ces phrases.Je veux les graver dans votre pensée. Peut-être êtes-vous dans cette catégorie – dans la condition qu’elles décrivent. Dans l’affirmative, vous devez y prêter encore plus attention.
Sans Christ
Privés du droit de cité en Israël
Étrangers aux alliances de la promesse
Sans espérance, et …
Sans Dieu dans le monde
Pour chaque personne, il n’y a que deux conditions possibles. Si vous avez Christ en vous, vous avez l’espérance de la gloire. Mais si vous êtes sans Christ, vous êtes sans espoir et sans Dieu.
La nécessité de l’espérance
Maintenant, nous pouvons réaliser pourquoi il est si essentiel de savoir que l’espérance fait partie de notre salut! Sans espérance, nous n’avons pas Christ.Sans Christ, nous n’avons pas le salut.
L’espérance n’est pas seulement un appendice au salut.C’est un élément essentiel du salut. Nous sommes sauvés dans l’espérance;nous sommes sauvés par l’espérance. L’espérance est construite sur la foi qui apporte le salut, mais c’est une partie essentielle du tout. Si nous n’avons pas cette espérance, nous sommes sans Christ. Et si nous sommes sans Christ, nous sommes sans Dieu. Nous sommes étrangers. Nous sommes exclus. Nous sommes séparés.Nous sommes désespérés. Quelle condition terrible!
Gloire à Dieu: il n’est pas nécessaire que quiconque entend ce message demeure dans cette condition. Si vous donnez votre vie à Dieu et que vous recevez Christ, vous ne serez pas sans Christ. Alors, vous saurez très vite ce que cela signifie d’avoir en vous l’espérance de la gloire. Puisse le Seigneur aider chacun de nous à être sûr de notre salut.
Et vous? Alors que vous lisez ce message, cela vous donne-t-il envie de confirmer que vous avez Christ en vous? Voulez-vous expérimenter cette «espérance de gloire» dont nous avons parlé?
Il se peut que vous n’ayez pas encore pris la décision de recevoir Jésus-Christ et l’espérance qu’il apporte. Ou, vous avez peut-être pris cette décision, mais souhaitez confirmer et recevoir l’espérance que Jésus promet.
Quelle que soit votre situation, vous pouvez entrer avec certitude dans cette espérance mystérieuse et glorieuse en priant les mots suivants.
Seigneur Jésus, je veux te recevoir pleinement dans ma vie à cet instant. Viens en moi et inonde tout mon être avec ton espérance, l’espérance de gloire. Je t’ouvre mon coeur maintenant, plus entièrement que jamais auparavant. Je te remercie d’être venu en moi, afin que je ne sois plus jamais sans espérance et sans Dieu dans le monde. Au nom de Jésus. Amen.
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A1 DIETRICH BONHOEFFER - L'AMOUR (1 COR. 13:1 – 14:1)


A1  DIETRICH BONHOEFFER  -  L'AMOUR (1 COR. 13:1 – 14:1)


L'amour
"Quand j'aurai le don de prophétie, et quand je connaîtrais tous les mystères et toute la science; quand j'aurais toute la foi jusqu'à transporter les montagnes, si je n'ai pas l'amour, je ne suis rien. Quand je distribuerais tous mes biens pour la nourriture des pauvres, quand je livrerais mon corps pour être brûlé, si je n'ai pas l'amour, je ne suis rien"
1 Cor. 13.-3
Voilà la parole décisive: c'est l'amour qui distingue l'homme uni à l'origine de celui qui en est séparé. Il y a une connaissance du Christ, une forte Foi en lui, des sentiments charitables et même un dévouement jusqu'à la mort - sans amour. C'est là le point capital. Sans cet amour, tout s'écroule et tout est condamnable, avec lui tout retrouve son unité et tout est agréable à Dieu. Quel est donc cet amour?

Selon tout ce que nous avons vu jusqu'ici, l'ensemble des définitions qui voient l'amour dans le comportement humain, dans les sentiments, dans le dévouement et le sacrifice, dans la solidarité, fraternité, le service et l'action, est à éliminer. Nous venons d'apprendre que tous ces phénomènes peuvent exister sans amour. Tout ce que nous avons l'habitude d'appeler amour, ce qui vit dans les profondeurs de l'âme aussi bien que dans nos actes visibles, même tout service fraternel qui procède d'un cœur pieux, peut être sans amour; non pas parce que tout comportement humain contient toujours un "reste" d'égoïsme qui efface l'amour, mais parce que l'amour est foncièrement différent de ce que nous attendons. L'amour n'est pas non plus dans la relation immédiate de personne à personne, ni dans l'intérêt qu'on porte aux individus, par opposition à un humanitarisme "objectif" et impersonnel. Non seulement le domaine personnel et le domaine "objectif" sont séparés ici de manière abstraite et non biblique, mais en outre l'amour devient un comportement humain, qui par surcroît est toujours partiel. L'amour est alors l'éthique supérieure du domaine personnel, perfectionnement et complément de l'éthique inférieure du domaine purement objectif. Il est conforme à cette conception d'opposer amour et vérité; l'amour, personnel, est ainsi supérieur à la vérité, impersonnelle. Ce faisant, on contredit la déclaration de saint Paul, selon laquelle l'amour met sa joie dans la vérité (1 Cor. 13,6). L'amour ignore précisément ce conflit par lequel on voudrait le définir; car dans son essence, il est au-delà de toute désunion. Luther, au regard lucide et biblique, appelle "amour maudit" tout amour qui porte atteinte à la vérité ou la neutralise, se masquerait-il sous l'aspect le plus dévôt. Un amour qui n'embrasserait que le domaine personnel et démissionnerait devant le domaine objectif ne serait jamais l'amour du Nouveau Testament.

Si donc il n'y a aucun comportement humain imaginable que l'on puisse appeler amour de façon non équivoque, si l'amour est au-delà de toute la désunion dans laquelle vivent les hommes, si toute la charité que les hommes peuvent concevoir et exercer n'est pensable qu'en temps que comportement humain à l'intérieur de la désunion existante, alors un mystère subsiste: qu'est-ce que l'amour pour la Bible? Celle-ci ne nous refuse certes pas la réponse, qui nous est d'ailleurs bien connue; mais nous l'interprétons toujours mal. La Bible dit: "Dieu est amour" (1 Jean 4,16). Pour être bien comprise, cette affirmation devrait être lue avec l'accent mis sur le mot Dieu, alors que nous avons pris l'habitude de le mettre sur le mot amour. Dieu est amour, Dieu lui-même, et non pas tel comportement, tel sentiment, tel acte humain. Seul celui qui connaît Dieu connaît l'amour; il est faux de penser que notre nature nous révèle d'abord l'amour et ensuite Dieu. Personne ne connaît Dieu, à moins que Dieu ne se révèle à lui. Par conséquent, personne ne connaît l'amour si ce n'est dans la propre révélation de Dieu. Amour est donc révélation divine. Or, qui dit révélation divine dit Jésus-Christ. "L'amour de Dieu pour nous a été manifesté en ceci: Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde, afin que nous ayons la vie par lui" (1 Jean 4,9). La révélation de Dieu en Jésus-Christ, la révélation de son amour, précède tout amour humain. L'amour a son origine en Dieu et non en nous; il est le comportement de Dieu et non celui de l'homme. "Voici en quoi consiste l'amour: ce n'est pas nous qui avons aimé Dieu, mais c'est lui qui nous a aimés, et qui a envoyé son Fils comme victime de propitiation pour nos péchés" (1 Jean 4,10). Ce n'est qu'en Jésus-Christ, en ce qu'il a accompli pour nous, que nous connaissons l'amour. "À ceci nous avons connu l'amour: c'est qu'il a donné sa vie pour nous" (1 Jean 3,16). Ici pas plus qu'ailleurs, la Bible ne donne une définition générale de l'amour, en disant par exemple qu'il consiste à donner sa vie pour les autres. L'amour dans le sens biblique n'est pas une attitude générale, mais le don absolument unique que le Christ nous a fait de sa vie. L'amour est indissolublement lié au nom de Jésus-Christ: en tant que révélation de Dieu. En réponse à la question: qu'est-ce que l'amour? Le Nouveau Testament nous renvoie de façon non équivoque à Jésus-Christ seul. C'est lui qui en est la seule définition. Mais nous nous méprendrions encore du tout au tout si nous voulions déduire de la contemplation de Jésus-Christ, son œuvre et de sa passion, une définition générale de l'amour: l'amour n'est pas ce que le Christ accomplit et ce qu'il souffre, mais ce que lui-même fait et souffre. C'est toujours lui qui est l'amour, c'est Dieu lui-même. C'est toujours la révélation de Dieu en Jésus-Christ.

En concentrant de la façon la plus stricte toutes nos pensées et toutes nos affirmations concernant l'amour sur le nom de Jésus-Christ, nous devons nous garder de jamais rabaisser ce nom à une notion abstraite; il doit toujours être compris dans la plénitude concrète de la réalité historique d'un être vivant. Nous déclarons donc - tout en maintenant tout ce que nous venons de dire - que seuls l'action et la souffrance concrètes de l'homme Jésus-Christ nous font comprendre ce qu'est l'amour. Le nom de Jésus-Christ, dans lequel Dieu se révèle, s'interprète lui-même dans la vie et les paroles du Christ. En définitive, le Nouveau Testament ne consiste pas en une répétition sans fin de ce nom, mais il illustre ce que ce nom comporte par des événements, des exemples et des affirmations, qui nous sont accessibles. Ainsi la force du concept "amour", (ayann), n'est nullement arbitraire; car si cette notion est définie d'une façon entièrement neuve dans le message néotestamentaire, elle n'en dérive pas moins de ce que nous attendons par "amour" dans notre langage. Cela ne signidie pas que la conception biblique de l'amour soit un certain aspect de la notion qui est la nôtre depuis toujours; elle apparaît au contraire comme le seul fondement, la seule vérité et la seule réalité de l'amour, de telle sorte que notre conception naturelle de l'amour n'est vraie et réelle que pour autant qu'elle participe à son origine, c'est-à-dire à l'amour qui est Dieu lui-même en Jésus-Christ. Notre réponse à la question: en quoi consiste l'amour? Est donc toujourscelle de l'Écriture: il consiste dans la réconciliation de l'homme avec Dieu en Jésus-Christ. Ce qui sépare l'homme de Dieu, des autres hommes, du monde et de lui-même, disparaît alors. L'origine est restituée à l'homme.

L'amour désigne donc cette action de Dieu en faveur de l'homme, par laquelle la désunion de ce dernier est surmontée. Cet acte s'appelle Jésus-Christ, la réconciliation. Ainsi l'amour est quelque chose qui arrive à l'homme, quelque chose de passif, dont il ne dispose pas, car ce quelque chose se situe au-delà de l'existence humaine dans la désunion. 
"Aimer" veut dire laisser transformer son existence entière par Dieu, se laisser introduire dans le monde tel que Dieu le veut. L'amour n'est donc pas un choix de l'homme, mais l'élection de l'homme par Dieu.
Comment peut-on dès lors parler de l'amour en tant qu'acte de l'homme, de l'amour de l'homme envers Dieu et son prochain, comme le Nouveau Testament le fait en toute clarté? Qu'importe le fait que l'homme puisse et doive aimer, à côté du fait que Dieu est amour? "Nous aimons parce qu'il nous a aimés le premier" (1 Jean 4,19). Cela signifie que notre amour pour Dieu repose uniquement sur son amour pour nous, ou, pour l'exprimer autrement, que notre amour ne peut être que l'acceptation de celui de Dieu en Jésus-Christ. "Si un homme aime Dieu, il est connu de lui" (1 Cor. 8,3). En langage biblique, connu veut dire "élu, engendré". Aimer Dieu signifie accepter notre élection, notre naissance en Christ. Penser que si l'amour divin précède l'amour humain, c'est pour faire naître ce dernier comme action libre, propre à l'homme et autonome, serait mal comprendre la relation entre l'amour de Dieu et celui des hommes. La déclaration que Dieu est amour vaut pour tout ce que nous pouvons dire sur l'amour des hommes. Si l'homme aime Dieu et son prochain de l'amour divin et d'aucun autre, -- parce qu'il n'y en a pas d'autre --, il n'y a pas d'amour autonome. En cela, l'amour humain reste purement passif. Aimer Dieu n'est qu'un autre aspect de l'amour dont Dieu nous aime. Être aimé de Dieu implique aimer Dieu; les deux phénomènes n'existent pas l'un à côté de l'autre, mais l'un par l'autre.

Pour bien comprendre ce qui précède, il nous faut préciser la notion de passivité dans ce contexte. Comme chaque fois qu'il est question de la passivité de l'homme en théologie, il s'agit ici d'une notion relative à l'existence de l'homme devant Dieu, et non pas d'une notion d'ordre psychologique. Être passif en présence de l'amour divin ne signifie pas se délasser, en excluant toute pensée, toute parole et tout acte, dans un amour divin qui ne nous appartiendrait que dans le recueillement. Cet amour n'est pas seulement un refuge dans le danger. Être aimé de Dieu ne nous interdit nullement d'avoir des pensées intenses et d'accomplir des actes joyeux
. C'est dans notre être total, pensée et action, que nous sommes aimés par Dieu et réconciliés avec lui par Christ, et c'est de tout notre être, esprit et corps, que nous aimons Dieu et nos frères.

A1 Derek Prince Méditations 30 – La louange ferme la bouche au diable


A1   Derek Prince Méditations 30 – La louange ferme la bouche au diable
La louange est une arme spirituelle que nous pouvons utiliser pour faire taire le diable. Ce fait pourrait être l’un des plus importants de la Bible. D’un point de vue pratique dans la vie chrétienne, Dieu nous a fourni un moyen de fermer la bouche au diable. Au Psaume 8:2 il est dit: «Par la bouche des enfants et de ceux qui sont à la mamelle tu as fondé ta gloire, pour confondre tes adversaires, pour imposer silence à l’ennemi et au vindicatif.»S’adressant à Dieu, le psalmiste parlait d’«adversaires» au pluriel, et de «l’ennemi et du vindicatif» au singulier. «L’ennemi et le vindicatif» n’est autre que le diable lui-même; «les adversaires» sont les esprits mauvais qui sont les instruments de satan contre nous. A cause de satan et de ses esprits mauvais, Dieu a promulgué une force qui nous rendrait capables de les faire taire.
Ce verset a été cité par Jésus lui-même dans l’évangile de Matthieu. Cette citation est une révélation de la pleine signification de ce passage. Dans cette séquence, Jésus se trouve dans le temple guérissant les malades, et les enfants courent autour de lui de-ci, de-là en criant: «Hosanna au Fils de David!» (Matthieu 21:15). Cela dérange les dirigeants religieux, ceux-ci interpellent donc Jésus en disant: «Entends-tu ce qu’ils disent?» Jésus donne ensuite cette révélation: «Oui, leur répondit Jésus. N’avez-vous jamais lu ces paroles: Tu as tiré des louanges [Ndt: en anglais: tu as rendues parfaites les louanges] de la bouche des enfants et de ceux qui sont à la mamelle?» Là où le psalmiste dit «tu as fondé ta gloire», Jésus dit: «tu as rendues parfaites les louanges.» Nous pouvons en tirer une conclusion simple et directe. La «gloire fondée» par Dieu pour son peuple est «la louange parfaite.» Dieu nous a rendus capables de faire taire le diable et toutes ses forces mauvaises par la louange parfaite.
En tant qu’«enfants et bébés à la mamelle» si nous louons Dieu vraiment parfaitement, de notre bouche sortira une arme qui fermera la bouche au diable. Et Dieu en sera glorifié.
Merci Seigneur. Je te loue. Je proclame qu’en «perfectionnant ma louange» je fais taire le diable et je glorifie Dieu. J’offrirai sans cesse un sacrifice de louange. Amen.
s


A1 Le Seigneur souhaite diriger ses enfants...


A1 Le Seigneur souhaite diriger ses enfants...


"Il me fait prendre du repos dans des pâturages bien verts, il me dirige près d’une eau paisible."Psaume 23.2
Une émission populaire de télé-réalité met en scène des danseurs professionnels qui apprennent à danser à des non-professionnels.  Les couples de danseurs sont en compétition pour voir quelle équipe danse le mieux.  
Le Seigneur souhaite diriger ses enfants...
La condition pour qu’un couple danse bien c’est que l’un des deux partenaires conduise et que l’autre suive le mouvement.  Si les deux danseurs essaient de diriger leur partenaire respectif, ils se marcheront sur les pieds.
Le Seigneur souhaite diriger ses enfants mais trop de chrétiens veulent se diriger eux-mêmes.  Avant d’être sauvé, j’allais dans des fêtes et dansais toute la nuit.  A cette époque, on dansait en couple.  La pire chose qui pouvait arriver à un couple de danseurs c’était d’avoir pour partenaire une fille qui essayait de guider la danse. Les deux partenaires tentant de diriger le mouvement finissaient, frustrés, par se marcher sur les pieds l’un de l’autre.  Cela explique pourquoi tant de chrétiens sont frustrés : le Seigneur aimerait les diriger mais au lieu de lui faire confiance et de le suivre, ils trébuchent.
Une action pour aujourd'hui
Ne faites pas comme ces couples de danseurs qui essaient de diriger la danse à deux alors que c’est inutile ! Permettez au Seigneur de vous diriger. Ne lui résistez pas mais faites-lui confiance ! Il ne vous dirigera que vers les bonnes choses.


CE1 A PERFECT DAY (1909) - Mahalia Jackson


When you come to the End of
CE1 A PERFECT DAY (1909) 
Words and Music by Carrie Jacobs-Bond (1862-1946)
Mahalia Jackson 


When you come to the end of a perfect day, 
And you sit alone with your thought, 
While the chimes ring out with a carol gay, 
For the joy that the day has brought, 
Do you think what the end of a perfect day 
Can mean to tired heart, 
When the sun goes down with a flaming ray, 
And the dear hearts have to part? 
Well, this is the end of a perfect day, 
Near the end of a journey, too, 
But it leaves a thought that is big and strong, 
With a wish that is kind and true. 
For mem'ry has painted this perfect day 
With colors that never fade, 
And we find at the end of a perfect day, 
The soul of a friend we've made.

BH1 HEUREUX celui en qui la Charité-Agape est en abondance (2Pierre 1:1-15, vs. ètre aveugle)

Simon Pierre, serviteur et apôtre de Jésus Christ, à ceux qui ont reçu en partage une foi du même prix que la nôtre, par la justice de notre Dieu et du Sauveur Jésus Christ: que la grâce et la paix vous soient multipliées par la connaissance de Dieu et de Jésus notre Seigneur!
Comme sa divine puissance nous a donné tout ce qui contribue à la vie et à la piété, au moyen de la connaissance de celui qui nous a appelés par sa propre gloire et par sa vertu, lesquelles nous assurent de sa part les plus grandes et les plus précieuses promesses, afin que par elles vous deveniez participants de la nature divine, en fuyant la corruption qui existe dans le monde par la convoitise,
à cause de cela même, faites tous vos efforts pour joindre à votre foi la vertu, à la vertu la science,à la science la tempérance, à la tempérance la patience, à la patience la piété,à la piété l'amour fraternel, à l'amour fraternel la charité. Car si ces choses sont en vous, et y sont avec abondance, elles ne vous laisseront point oisifs ni stériles pour la connaissance de notre Seigneur Jésus Christ.
Mais celui en qui ces choses ne sont point est aveugle, il ne voit pas de loin, et il a mis en oubli la purification de ses anciens péchés.
10 C'est pourquoi, frères, appliquez-vous d'autant plus à affermir votre vocation et votre élection; car, en faisant cela, vous ne broncherez jamais. 11 C'est ainsi, en effet, que l'entrée dans le royaume éternel de notre Seigneur et Sauveur Jésus Christ vous sera pleinement accordée.
12 Voilà pourquoi je prendrai soin de vous rappeler ces choses, bien que vous les sachiez et que vous soyez affermis dans la vérité présente. 13 Et je regarde comme un devoir, aussi longtemps que je suis dans cette tente, de vous tenir en éveil par des avertissements,
14 car je sais que je la quitterai subitement, ainsi que notre Seigneur Jésus Christ me l'a fait connaître. 15 Mais j'aurai soin qu'après mon départ vous puissiez toujours vous souvenir de ces choses.
16 Ce n'est pas, en effet, en suivant des fables habilement conçues, que nous vous avons fait connaître la puissance et l'avènement de notre Seigneur Jésus Christ, mais c'est comme ayant vu sa majesté de nos propres yeux. 17 Car il a reçu de Dieu le Père honneur et gloire, quand la gloire magnifique lui fit entendre une voix qui disait: Celui-ci est mon Fils bien-aimé, en qui j'ai mis toute mon affection.
18 Et nous avons entendu cette voix venant du ciel, lorsque nous étions avec lui sur la sainte montagne. 19 Et nous tenons pour d'autant plus certaine la parole prophétique, à laquelle vous faites bien de prêter attention, comme à une lampe qui brille dans un lieu obscur, jusqu'à ce que le jour vienne à paraître et que l'étoile du matin se lève dans vos coeurs;
20 sachant tout d'abord vous-mêmes qu'aucune prophétie de l'Écriture ne peut être un objet d'interprétation particulière, 21 car ce n'est pas par une volonté d'homme qu'une prophétie a jamais été apportée, mais c'est poussés par le Saint Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu.